Multivariate restricted maximum likelihood estimation of genetic parameters for production traits in three selected turkey strains*
Autor: | Chapuis, Herve, Tixier Boichard, Michèle, Delabrosse, Y., Ducrocq, Vincent |
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Přispěvatelé: | Station de Génétique Quantitative et Appliquée (SGQA), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), Génétique et Diversité Animales (GEDANIM), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-AgroParisTech, Bétina Sélection, Partenaires INRAE |
Jazyk: | angličtina |
Rok vydání: | 1996 |
Předmět: | |
Zdroj: | Genetics Selection Evolution Genetics Selection Evolution, BioMed Central, 1996, 28 (2), pp.197-215 Genetics Selection Evolution, BioMed Central, 1996, 28 (3), pp.299-317 |
ISSN: | 0999-193X 1297-9686 |
Popis: | International audience; Genetic parameters related to growth, carcass composition and egg production were estimated on three (two female and one male) commercial strains of turkey using the method of restricted maximum likelihood (R.EML). In order to account for the sexual dimorphism in turkeys, body weight (BW, measured at 12 and 16 weeks of age) was considered as a sex-limited trait. As many as seven traits were analyzed simultaneously in one strain. Egg numbers were normalized using a Box-Cox transformation. Three different genetic models were used. The first one was a linear mixed model with a direct genetic effect. Model 2 accounted in addition for a dam’s environmental effect, while model 3 introduced a maternal genetic effect. The heritability estimates of BW were very high, especially for female traits (0.77 for female BW16 and 0.68 for male BW16 in strain B). Sexual dimorphism was less heritable (0.23, 0.16, and 0.14 for the 16 weeks body weight sex difference in the three strains considered). One of the female strains exhibited a strongly negative genetic correlation (-0.5) between female BW and egg number. The elevated values of the estimates probably originated from the method used, which accounted for the bias due to the sequential selection that had been carried out, and from the choice of the base population. Use of models 2 and 3 resulted in slightly lower heritability estimates than model 1, due to low maternal effects. The latter, however, offered a reasonable compromise between quality and computational cost of the evaluations.; Les paramètres génétiques de caractères relatifs à la croissance (poids corporels à 12 et 16 semaines), la teneur en gras (mesure ultrasonique) et la ponte ont été estimés à l’aide de la méthode du maximum de la vraisemblance restreinte (REML) dans trois souches de dindes sélectionnées. Les caractères de poids ont été séparés selon les sexes, afin de rendre compte du dimorphisme sexuel important dans l’espèce et jusqu’à sept caractères ont ainsi été analysés simultanément dans une des souches. Les données de ponte ont été normalisées à l’aide d’une transformation de Box-Cox. Trois modèles génétiques différents ont été utilisés. Le premier est un modèle linéaire mixte incluant la valeur génétique additive individuelle comme effet aléatoire. Dans les autres on ajoute un effet maternel d’abord considéré comme un effet essentiellement de milieu (modèle 2) puis uniquement génétique (modèle 3). Les héritabilités sont très fortes pour les poids corporels, plus élevées pour les poids femelles que pour les poids mâles (0,77 pour les femelles à 16 semaines dans la lignée B contre 0,68 pour les mâles). Le dimorphisme sexuel est un caractère plus faiblement héritable (0,23; 0,16; et 0,14 pour la différence de poids entre mâles et femelles à 16 semaines dans les trois lignées). Dans une des lignées femelles, la corrélation génétique est fortement négative (-0,5) entre le poids des femelles et le nombre d’oeufs pondus. Les valeurs élevées des paramètres génétiques s’expliquent probablement par la méthode employée qui permet de prendre en compte le biais important lié à la sélection de type séquentiel. Le choix de la population de base permet également d’expliquer ces valeurs inhabituelles. Les modèles 2 et 3 donnent des estimées légèrement moins élevées pour les héritabilités que le modèle 1, à cause de la faiblesse des effets maternels. Le modèle 1 permet néanmoins un bon compromis entre simplicité des calculs et qualité de la description. |
Databáze: | OpenAIRE |
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