| Přispěvatelé: |
Université Grenoble Alpes - UFR Arts & Sciences Humaines (UGA UFR ARSH), Université Grenoble Alpes (UGA), LAboratoire de Recherche Historique Rhône-Alpes - UMR5190 (LARHRA), École normale supérieure de Lyon (ENS de Lyon)-Université Lumière - Lyon 2 (UL2)-Université Jean Moulin - Lyon 3 (UJML), Université de Lyon-Université de Lyon-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Grenoble Alpes (UGA), Laboratoire Universitaire Histoire Cultures Italie Europe (LUHCIE), Julien Caranton, Sylvain Venayre |
| Popis: |
Norwich, from the 16th century until the Industrial Revolution, was a prosperous city. The city has at several times the success of a strong industrial scene, with an influence beyond the Norfolk region since it is considered the second city of the kingdom behind London and Bristol. The city shines beyond the North Sea, in Europe and its colonies thanks to a peculiarity of these products which is the mixed wool and silk that allows the manufacture of fabrics both refined and solid. However, over time, the reality is quite different. The city began a phase of decline from the end of the 18th century, at the beginning of the mechanization of the United Kingdom. Local historians seem to remember a date to determine the last year of the city’s prosperity: 1792. We shall see, however, that through the study of the archives and the local press the definitive decline took place in 1825. And that the economic health of the city will mainly affect a particular social group, the weavers. Their social condition is therefore much discussed in a changing society, where competition and the introduction of machines threaten its existence, not only in Norwich, but throughout the kingdom.; Norwich, à partir du XVIe siècle et jusqu’à la Révolution Industrielle, est bien une ville prospère. La ville connait à plusieurs moments le succès d’une scène industrielle forte, avec une influence au delà de la région du Norfolk puisqu’elle est considérée comme la seconde ville du royaume derrière Londres et Bristol. La ville brille au delà de la Mer du Nord, en Europe et dans ses colonies grâce à une particularité de ces produits qui est le mixte de laine et de soie qui permet la fabrication de tissus à la fois raffinés et solides. Pourtant, au fil du temps, la réalité est tout autre. La ville entame une phase de déclin à partir de la fin du XVIIIe siècle, au début de la mécanisation du Royaume-Uni. Les historiens locaux semblent retenir une date pour déterminer la dernière année de prospérité de la ville : 1792. Nous verrons cependant qu'a travers l'étude des archives et de la presse locale que le déclin définitif se passe en 1825. Et que la santé économique de la ville va surtout se répercuter sur un groupe social en particulier, les tisserands. Leur condition sociale est donc beaucoup discutée dans une société en changement, où la concurrence et l’introduction de machines menacent son existence, pas seulement à Norwich, mais dans tout le royaume. |
