| Přispěvatelé: |
Université Paris-Saclay, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ), Professions, institutions, temporalités (PRINTEMPS), Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Hély, Matthieu |
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International audience; Le modèle associatif français est celui que l’économiste américain, Lester Salamon, et son équipe désignent comme le welfare parternship (Salamon, Sokolowski et Haddock, 2017). Dans cette tradition où la référence aux normes du service public est structurante (Bosvieux-Onyekwelu, 2016), l’Etat-social est puissant mais ne couvre pas l’ensemble des services à la collectivité et s’appuie en partie sur la société civile pour les dispenser. C’est toute l’histoire du secteur social et médico-social qui témoigne de l’importance du secteur associatif dans le domaine de la protection de l’enfance, du handicap ou encore des services aux personnes âgées dépendantes (EHPAD, aide à domicile). Ce modèle est remis en cause par la structuration d’une configuration néolibérale des pratiques associatives qui s’est mise en place à partir des années 1990-2000. |
