Autor: |
Boukhanni, Lahssen, Dhibou, Hanane, Zilfi, Wafaa, Housseini, Kawtar Iraki, Benkeddour, Yasser Ait, Aboulfalah, Abderrahim, Asmouki, Hamid, Soummani, Abderraouf |
Jazyk: |
angličtina |
Rok vydání: |
2016 |
Zdroj: |
Pan African Medical Journal; Vol 23, No 1 (2016) |
ISSN: |
1937-8688 |
Popis: |
L'acte sexuel consenti ou imposé, peut être à l'origine des traumatismes. L'hémorragie post coïtale est un symptôme gynécologique commun. Elle peut révéler de sérieux problèmes. Le but de notre travail est d'étudier le profil épidémiologique, diagnostique et thérapeutique ainsi que les moyens préventifs en cas de déchirure post coïtale. Il s'agit d'une étude prospective, étalée sur deux ans, mené au service de gynécologie obstétrique du CHU Med VI de Marrakech. Nous avons colligé 68 patientes. L'âge moyen est de 27 ans, la majorité des patientes étaient des nullipares soit 89,7% des cas. La moitié des patientes avaient un mariage traditionnel. Le rapport était consentent dans 74% des cas. L'hémorragie génitale a constitue le motif de consultation le plus fréquent soit 98% des cas. Les lésions hyménales ont été retrouvées dans 39% des cas et la lésion siégeait dans le cul de sac postérieur chez 35% des cas. La prise en charge thérapeutique a consisté en une suture chirurgicale chez 97% des cas, associé à une transfusion sanguine chez deux patientes et une abstinence sexuelle pendant minimum deux semaines chez toutes nous patientes. Le contexte social ainsi que le manque d'éducation sexuelle sont souvent incriminé d'où l'intérêt d'une prise en charge psychologique pour prévenir aussi bien le retentissement du traumatisme sur la sexualité que les récidives.Pan African Medical Journal 2016; 23 |
Databáze: |
OpenAIRE |
Externí odkaz: |
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