Autor: |
Nguinda-Akany, Christian Ilitch, Ollandet, Innocent Bob, Kombo, Guy Romain Aimé, Mpika, Joseph, Attibayeba, Attibayeba |
Jazyk: |
angličtina |
Rok vydání: |
2022 |
Předmět: |
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Zdroj: |
Journal of Applied Biosciences; Vol. 150 No. 1 (2020); 15448-15456 |
ISSN: |
1997-5902 |
Popis: |
Objectif : Evaluer l’effet des porte-greffes de cultivars d’aubergines africaines Nkéka, Bissukulu et Diablette sur l’incidence du flétrissement bactérien de tomate en condition d’infestation naturelle de sol sous régime pluvial.Méthodologie et résultats : Il a été réalisé dans le bassin maraîcher de Djiri-bilolo un diagnostic du flétrissement bactérien sur la tomate cultivée au cours de la grande saison sèche (juin à septembre 2018). Les parcelles à taux de flétrissement bactérien compris entre 33% et 44% ont été retenues pour y réaliser l’expérimentation en BAC de 3 répétitions à ciel ouvert avec 2 facteurs durant la grande saison des pluies (octobre à décembre 2018). Le 1er facteur était le statut de plante de tomate constitué de 4 variantes porte–greffes de cultivars locaux d’aubergines africaines : Bissukulu, Nkéka, Diablette et le témoin négatif dépourvu de porte-greffe. Le 2ème facteur était la fumure de fonds avec 3 variantes : la déjection de porc, la déjection de poulet et du témoin négatif dépourvu de fumure. L’incidence du flétrissement bactérien a été mesurée 35 jours durant après transplantation.Conclusion et application des résultats : Les cultivars locaux d’aubergines africaines Diablette et Bissukulu sont des porte-greffes permettant de limiter considérablement l’incidence du flétrissement bactérien. En outre, au cours de la saison des pluies, la fumure de volaille étant sujet de lessivage à cause de son faible rapport C/N |
Databáze: |
OpenAIRE |
Externí odkaz: |
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