The Orange windigo: Thomas Scott in the twenty-first century

Autor: Braz, Albert
Zdroj: British Journal of Canadian Studies (Project Muse); October 2024, Vol. 36 Issue: 2 p183-197, 15p
Abstrakt: Abstract:The Ontario Orangeman Thomas Scott has long been known as one of the most ignoble figures in Canadian history, being widely considered the epitome of chauvinism and xenophobia. Scott owes his notoriety almost entirely to getting himself killed by Louis Riel’s Métis-dominated provisional government at Red River in 1870, but his misfortune has not garnered him much sympathy. On the contrary, his reputation was so soiled after the Second World War that it became permissible to level the vilest allegations against Scott, even that he was a vicious killer. However, there has been a critical change in the narrative since then, with some writers and scholars suggesting that it was not Scott but Riel who was most responsible for the devastating consequences of the Orangeman’s killing.Abstract:L’orangiste ontarien Thomas Scott est connu depuis longtemps comme l’une des figures les plus ignobles de l’histoire du Canada, étant largement considéré comme l’incarnation du chauvinisme et de la xénophobie. Scott doit presque entièrement sa notoriété au fait qu’il s’est fait tuer par le gouvernement provisoire dominé par les Métis de Louis Riel à la Rivière-Rouge en 1870, mais son malheur ne lui a pas valu beaucoup de sympathie. Au contraire, sa réputation était tellement entachée après la Seconde Guerre mondiale qu’il devint permis de formuler les allégations les plus ignobles contre Scott, même s’il était un tueur cruel. Cependant, il y a eu un changement crucial dans le récit depuis lors, certains écrivains et universitaires suggérant que ce n’était pas Scott mais Riel qui était le plus responsable des conséquences dévastatrices du meurtre de l’Orangeman.
Databáze: Supplemental Index