| Autor: |
Amiel, C., Dupont, I., Poisson, A., Marley, L., Barillier, D., Amiel, C., Dupont, I., Poisson, A., Marley, L., Barillier, D. |
| Zdroj: |
Matériaux & Techniques; January 2002, Vol. 90 Issue: 9 p49-56, 8p |
| Abstrakt: |
La corrosion induite par les micro-organismes, le plus souvent appelée biocorrosion, implique tous les phénomènes de corrosion où les micro-organismes agissent directement soit par l’intermédiaire de leur métabolisme (production d’acides, de sulfures, ...) en jouant un rôle primordial, en accélérant un processus déjà établi, ou en créant les conditions favorables à son établissement. Les bactéries les plus souvent incriminées dans les phénomènes de biocorrosion sont les bactéries sulfurogènes : Bactéries Sulfato et Thiosulfato Réductrices. Aucune corrélation n’a pu, à ce jour, être clairement établie entre la quantité de bactéries sulfurogènes et la dégradation engendrée. Ceci amène à penser que certaines bactéries sulfurogènes particulières pourraient être responsables du déclenchement du phénomène de biodégradation. Ce ne serait pas la quantité mais la qualité des bactéries sulfurogènes qui serait à l’origine de la biodégradation. Dans ce contexte la présente étude se propose d’aborder l’identification et la caractérisation des bactéries sulfurogènes marines à l’aide de la spectroscopie infrarouge à transformée de Fourier. |
| Databáze: |
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