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Domesticated dogs are widely used for farm work, law enforcement, military service and in assistance roles. Farm dogs assist farmers by guarding or moving stock, reducing the requirement for human workers and enabling steep terrain to be productive. Working and service dogs are subject to illness and injury, depending on their breed characteristics, activities and the environment in which they work. There are limited data in the veterinary literature on the causes of loss and early retirement of working dogs, and targeted research is required to better determine factors that affect their incidence. Many breeds of working dog suffer from inherited forms of musculoskeletal disease; most importantly, elbow and hip dysplasia. The effectiveness of traditional radiographic (phenotypic) scoring schemes at reducing the prevalence of hip and elbow dysplasia has been variable. The selection of breeding stock should preferably be based on estimated breeding values, rather than on an individual phenotypic score/grade. Nutrition can affect physical and mental performance, disease risk and susceptibility, and recovery from injury, age-associated decline and longevity. The dietary proportions of fat, protein and carbohydrate influence fuel selection during exercise. A common concern among farmers is the difficulty of maintaining body condition in their dogs during periods of heavy work with current feeding practices. Additionally, maintaining a positive calcium balance is necessary for adaptive remodelling in response to exercise. Research strategies should include improved treatment options, the development of more specific means of genetic selection for inherited diseases, investigation into specific nutritional requirements and the dissemination of this knowledge.Les chiens domestiqués sont très largement utilisés pour travailler dans les fermes, ainsi qu’en tant que chiens policiers, chiens militaires ou chiens d’assistance. Les chiens de ferme aident les éleveurs à garder ou à déplacer leurs troupeaux, ce qui réduit les besoins en main d’oeuvre et permet d’exploiter des terrains escarpés. Les chiens de travail et aidants sont plus ou moins exposés à la maladie et aux blessures, en fonction des caractéristiques de leur race, des tâches qui leur sont confiées et de l’environnement dans lequel ils travaillent. Il n’existe pas beaucoup d’études vétérinaires publiées sur les causes des morts et des mises à la retraite prématurées des chiens de travail, thème qu’il conviendrait d’explorer plus précisément afin de mieux déterminer les facteurs affectant l’incidence de ces problèmes. Plusieurs races canines sont atteintes de troubles musculo-squelettiques héréditaires, dont le plus important est la dysplasie du coude et de la hanche. Les méthodes traditionnelles d’interprétation radiologique (mesure des phénotypes) ont contribué à réduire la prévalence de la dysplasie du coude et de la hanche, avec des résultats variables. La sélection des reproducteurs devrait reposer sur l’estimation de leur potentiel génétique (valeur d’élevage) plutôt que sur le score ou l’échelle de mesure du phénotype d’un individu. L’alimentation joue un rôle sur les performances physiques et mentales, la sensibilité aux maladies et le risque sanitaire, les capacités de rétablissement après une blessure, le processus de vieillissement et la longévité. La proportion relative des lipides, protéines et glucides dans l’alimentation donnée aux chiens détermine les sources d’énergie utilisées durant l’effort. Une préoccupation courante parmi les éleveurs concerne la difficulté de maintenir leurs chiens en bonne condition physique pendant les périodes où le travail est le plus dur, compte tenu des pratiques d’alimentation actuelles. Il est également important de maintenir un bon équilibre en calcium afin de soutenir les capacités d’adaptation à l’effort et de récupération. Les stratégies de recherche devraient explorer les pistes d’amélioration des traitements, mettre au point des méthodes de sélection génétique axées spécifiquement sur les maladies héréditaires et mieux élucider les besoins nutritionnels des chiens, sans oublier de diffuser par la suite les connaissances ainsi obtenues.El uso del perro doméstico en tareas agrícolas, policiales, militares y de socorro o ayuda está muy extendido. Los perros pastores ayudan al granjero vigilando o conduciendo el ganado, lo que reduce la necesidad de personal humano y permite aprovechar las tierras situadas en terrenos escarpados. Los perros de trabajo y de servicio están sujetos a enfermedades y lesiones que dependen de las características de la raza, la actividad de que se trate y el medio en que esta discurra. En la bibliografía veterinaria hay escasa información sobre las causas que subyacen a la pérdida o la jubilación anticipada de perros de trabajo. De ahí la necesidad de investigar específicamente este aspecto para determinar con más precisión los factores que influyen en ello. Muchas razas de perros de trabajo padecen formas hereditarias de enfermedad musculoesquelética, la más importante de ellas la displasia de codo o cadera. Los tradicionales sistemas de puntuación radiológica (fenotípica) han resultado de eficacia variable para reducir la prevalencia de estas dos displasias. La selección de ejemplares reproductores debería basarse no tanto en la puntuación o grado fenotípico de cada individuo como en los valores estimados de cría. La alimentación puede influir en el rendimiento físico y mental, el riesgo de enfermedades y la sensibilidad a ellas, la recuperación tras una lesión y la longevidad o la decadencia ligada a la edad. Las proporciones de grasas, proteínas y carbohidratos presentes en el régimen alimentario influyen en la selección de combustible metabólico durante la actividad física. Uno de los aspectos que preocupa a todos los granjeros es la dificultad de mantener el cuerpo del perro en condiciones en los periodos de mucho trabajo con las actuales prácticas de alimentación. Además, también es necesario mantener un saldo positivo de calcio para que tenga lugar la remodelación adaptativa del cuerpo en respuesta al ejercicio físico. Los planes de investigación deben incluir aspectos como la búsqueda de mejores alternativas de tratamiento, la obtención de medios más específicos de selección genética respecto de las enfermedades hereditarias, el estudio de necesidades nutricionales específicas y la difusión de cuanto conocimiento resulte de estas investigaciones. |