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Countless environmental, social, and economic issues can stem from poor mine closure and post-mining land use planning practices. Such post-extractive landscapes have a disproportionate effect on local Indigenous communities that continue to live in these often remote areas on their traditional lands, with such peoples only recently being able to document and bring their values and stories to closure, rehabilitation, and post-mining land use policy. A strong regulatory environment is the often suggested response to such concerns, and this chapter examines the regulation of mine rehabilitation and closure (MR&C) practices in the developed resource states of Canada and Australia. Analysis of current regulation and policy along with examples from MR&C practice demonstrate that the regulatory state is failing to ensure social, economic, cultural, and environmentally safe landscapes for local Indigenous people on whose lands these mines were situated. This research highlights recent reform in both jurisdictions, primarily designed to limit state liability for abandoned mines, and the impact of that reform upon the influence and inclusion of Indigenous peoples’ interests and rights in MR&C. The chapter highlights the common structural, institutional, political and resource challenges that Indigenous peoples across Australia and Canada face in ensuring that their lands and country are effectively and safely rehabilitated, and argues that having a comprehensive regulatory environment is not enough. Greater Indigenous engagement, management, control and ownership of MR&C processes is required if we are to see better outcomes for local people in post-extractive landscapes. D'innombrables problèmes environnementaux, sociaux et économiques peuvent résulter de mauvaises pratiques de fermeture des mines et de politiques d'aménagements du territoire après une période d’exploitation des ressources. Ces paysages post-extraction ont un effet disproportionné sur les communautés indigènes locales, qui continuent à vivre dans ces régions souvent éloignées sur leurs terres traditionnelles, ces peuples n'ayant que récemment été en mesure de documenter et d'apporter leurs valeurs et leurs histoires à la politique de fermeture, de réhabilitation et d'utilisation des terres après l'exploitation minière. Un environnement réglementaire fort est la réponse souvent suggérée à ces préoccupations, et ce chapitre examine la réglementation des pratiques de réhabilitation et de fermeture des mines (R&FM) dans les États développés du Canada et de l'Australie. L'analyse de la réglementation et des politiques actuelles ainsi que des exemples de pratiques R&FM démontrent que l'État régulateur ne parvient pas à garantir des paysages sociaux, économiques, culturels et environnementaux sûrs pour les populations indigènes locales sur les terres anciennement exploitées. Cette recherche met en lumière la réforme récente dans deux juridictions, principalement conçue pour limiter la responsabilité de l'État à l'égard des mines abandonnées, et l'impact de cette réforme sur l'influence et l'inclusion des intérêts et des droits des peuples autochtones dans la R&FM. Le chapitre met en évidence les défis structurels, institutionnels, politiques et de ressources auxquels les peuples autochtones d'Australie et du Canada sont confrontés pour garantir que leurs terres soient réhabilitées de manière efficace et sûre. Les auteurs soutiennent qu'il ne suffit pas d'avoir un environnement réglementaire complet. Un engagement, une gestion, un contrôle et une appropriation accrus des processus de R&FM par les autochtones sont nécessaires pour obtenir de meilleurs résultats pour les populations locales dans les paysages post-extraction. Innumerables problemas medioambientales, sociales y económicos pueden derivarse de prácticas deficientes de cierre de minas y de planificación del uso del suelo tras su explotación. Estos paisajes postextractivos tienen un efecto desproporcionado en las comunidades indígenas locales que siguen viviendo en estas zonas, a menudo remotas, en sus tierras tradicionales, y que sólo recientemente han podido documentar y aportar sus valores e historias a las políticas de cierre, rehabilitación y uso del suelo tras la explotación minera. La respuesta que se suele sugerir a estas preocupaciones es un marco normativo sólido, y este capítulo examina la regulación de las prácticas de rehabilitación y cierre de minas (MR&C) en los países desarrollados de Canadá y Australia. El análisis de la normativa y la política actuales, junto con ejemplos de prácticas de MR&C, demuestran que el estado regulador no está garantizando paisajes social, económica, cultural y ambientalmente seguros para los pueblos indígenas locales en cuyas tierras estaban situadas estas minas. Esta investigación pone de relieve la reciente reforma en ambas jurisdicciones, principalmente diseñada para limitar la responsabilidad del Estado por las minas abandonadas, y el impacto de dicha reforma sobre la influencia y la inclusión de los intereses y derechos de los pueblos indígenas en el MR&C. El capítulo pone en evidencia los retos estructurales, institucionales, políticos y de recursos comunes a los que se enfrentan los pueblos indígenas de Australia y Canadá para garantizar que sus tierras y su país sean rehabilitados de forma eficaz y segura, y sostiene que no basta con disponer de un entorno normativo exhaustivo. Una mayor participación, gestión, control y apropiación de los procesos de MR&C por parte de los pueblos indígenas es necesaria si queremos obtener mejores resultados para la población local en los paisajes post-extractivos. |