Přispěvatelé: |
Desomer, Anja, Depreitere, Bart, Berquin, Anne, Bruneau, Michael, Christiaens, Wendy, Coeckelberghs, Ellen, Demoulin, Christophe, Duquenne, Pierre, Forget, Patrice, Fraselle, Virginie, Godderis, Lode, Hans, Guy, Hoste, Davy, Kohn, Laurence, Mairiaux, P, Munting, Everard, Nielsens, Henri, Orban, Thomas, Parlevliet, Thierry, Pirotte, Benoît, Van Boxem, Keon, Van Lerbeirghe, Johan, Van Schaeybroeck, Patrick, Van Wambeke, Peter, Van Zundert, Jan, Vanderstreaten, Jacques, Verhulst, Dominique |
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53 p. ill., Mal au dos, que faire ? Face à la grande variété de solutions proposées à ceux et celles qui souffrent de ce « mal du siècle », le KCE avait déjà publié en mai dernier un Guide de pratique clinique basé sur les plus récentes connaissances scientifiques. En guise de prolongation, voici un itinéraire de soins qui définit, pour un patient donné et en fonction du type et de la durée de sa douleur, les examens à effectuer et les traitements à proposer pour progresser de la façon la plus cohérente possible. C’est la première fois qu’un itinéraire de soins est réalisé en commun avec des représentants de toutes les professions de soins concernées et avec les patients. Il englobe à la fois les douleurs lombaires (mal de dos simple) et radiculaires (de type sciatique). Pour en faciliter l’usage, le KCE en a également développé une version interactive en ligne (www.lombalgie.kce.be). PRÉFACE . 1 -- RÉSUMÉ 2 -- SYNTHÈSE . 3 -- 1. INTRODUCTION 9 -- 1.1. PORTÉE DE L’ITINÉRAIRE 9 -- 1.2. LIGNE DU TEMPS 10 -- 1.3. QU’ENTENDONS-NOUS PAR ITINÉRAIRE DE SOINS ? 10 -- 1.4. MÉTHODES . 11 -- 1.4.1. Équipe d’experts . 11 -- 1.4.2. Sources de données . 11 -- 1.4.3. Interprétation des résultats . 12 -- 2. UNE INCONFORTABLE ABSENCE DE DIAGNOSTIC 12 -- 2.1. SYSTÉMATISER LA RECHERCHE DE PATHOLOGIES SOUS-JACENTES SÉVÈRES 12 -- 2.2. DISTINGUER D’EMBLÉE LA DOULEUR RADICULAIRE DE LA LOMBALGIE 15 -- 2.3. NE PAS COMPTER SUR L’IMAGERIE . 15 -- 2.4. ASSURER UN SUIVI RÉGULIER DU PATIENT 15 -- 3. L’APPROCHE BIOPSYCHOSOCIALE, UNE CONCEPTION NOUVELLE QUI TARDE A SE -- GÉNÉRALISER 16 -- 3.1. RENONCER AUX CONCEPTIONS BIOMÉCANIQUES OBSOLÈTES 17 -- 3.2. DÉPISTER LES RISQUES DE PASSAGE À LA CHRONICITÉ 18 -- 3.3. ADAPTER LES SOINS AU PATIENT EN FONCTION DU PROFIL DE RISQUE DE PASSAGE À LA CHRONICITÉ 19 -- 3.4. METTRE LES MOYENS DÈS LA PHASE SUBAIGUË SI LE RISQUE EST ÉLEVÉ .20 -- 3.5. PRENDRE EN COMPTE LES FACTEURS PSYCHOSOCIAUX AUSSI DANS LA PHASE CHRONIQUE 20 -- 4. LES SOINS CENTRÉS SUR LE PATIENT, UN PRINCIPE DIFFICILE À RENCONTRER .21 -- 4.1. COMMENCER PAR RECONNAÎTRE QU’IL Y A UN HIATUS ENTRE LES ATTENTES DES PATIENTS ET LES POSSIBILITÉS D’ACTION DES PROFESSIONNELS DE LA SANTÉ 21 -- 4.1.1. Les patients attendent un diagnostic précis avec des causes clairement définies 21 -- 4.1.2. Ils voudraient être davantage écoutés . 22 -- 4.1.3. Ils espèrent une guérison complète 22 -- 4.1.4. Ils demandent une approche globale 22 -- 4.1.5. Ils veulent un traitement plus personnalisé et une participation plus active aux décisions . 23 -- 4.2. RELEVER DE NOUVEAUX DÉFIS POUR LES SOIGNANTS : L’EMPOWERMENT DU PATIENT ET L’AUTOGESTION . 23 -- 4.2.1. L’interaction entre patients et cliniciens pourrait être améliorée .23 -- 4.2.2. Des outils d’aide à la communication peuvent s’avérer utiles .24 -- 5. LES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES ET SOCIALES, TROP PEU SOUTENUES PAR LES PROFESSIONNELS DE SANTÉ 25 -- 5.1. ÉVALUER LE RISQUE D’ABSENCE DE LONGUE DURÉE 25 -- 5.2. SOUTENIR LE MAINTIEN AU TRAVAIL DU PATIENT . 26 -- 5.2.1. Il y a un fossé entre les cliniciens et l’environnement de travail .26 -- 5.2.2. Le milieu du travail n’est pas toujours coopératif 26 -- 5.3. FAIRE APPEL AUX PROGRAMMES D’ACCOMPAGNEMENT DE LA REPRISE DU TRAVAIL 27 -- 5.4. ENCOURAGER LA POURSUITE DES ACTIVITÉS SOCIALES, HORS TRAVAIL 27 -- 6. UNE COORDINATION A DÉFINIR ENTRE PRESTATAIRES DE SOINS 28 -- 6.1. RENFORCER LES SOINS DE PREMIÈRE LIGNE . 28 -- 6.1.1. Rôle du médecin généraliste . 29 -- 6.1.2. Rôle du kinésithérapeute 29 -- 6.1.3. Rôle des praticiens non-conventionnels . 31 -- 6.1.4. Rôle d’autres professionnels de la santé pouvant intervenir en 1re ligne .32 -- 6.2. AMÉLIORER LES CONDITIONS DE RENVOI VERS LA 2E LIGNE .33 -- 6.2.1. Rôle du spécialiste en médecine physique et réadaptation 34 -- 6.2.2. Rôle de l’anesthésiste-algologue et du chirurgien de la colonne 34 -- 6.3. PROMOUVOIR L’INTERDISCIPLINARITÉ 34 -- 7. UN MONITORING ET UNE ÉVALUATION À PRÉVOIR D’EMBLÉE 36 -- 8. L’IMPLÉMENTATION DE L’ITINÉRAIRE DE SOINS, UN DÉFI A PART ENTIÈRE 37 -- 8.1. ASSURER UNE FORMATION DES PROFESSIONNELS DE LA SANTÉ QUI TIENNENT -- COMPTE DES ÉLÉMENT-CLÉS DE L’ITINÉRAIRE 38 -- 8.2. AMÉLIORER LA COMMUNICATION ENTRE LES PROFESSIONNELS 38 -- 8.3. FAIRE ÉVOLUER LES MENTALITÉS 39 -- 8.4. FACILITER LA MISE EN PRATIQUE DES ITINÉRAIRES DE SOINS CHEZ LES PRESTATAIRES 39 -- 8.5. RESPECTER LES INITIATIVES LOCALES 40 -- 8.6. OSER ABORDER CERTAINES QUESTIONS DÉLICATES 40 -- 8.7. NE PAS OUBLIER LA PRÉVENTION (MÊME SI CET ASPECT EST HORS DU CHAMP DE CE -- PROJET) 41 -- 8.8. DIFFUSER L’ITINÉRAIRE DE SOINS PAR LE PLUS GRAND NOMBRE DE CANAUX -- POSSIBLES . 41 -- 8.9. ELABORER DES OUTILS ÉLECTRONIQUES POUR FACILITER L’EMPLOI DE -- L’ITINÉRAIRE 41 -- 9. CONCLUSION 42 -- ANNEXES . 43 -- RECOMMANDATIONS 50 |