Multivariate analyses of the effect of feed diet on the mobilization of fat reserves in the one-humped camel

Autor: Bernard Faye, Asma Kamili, Yves Chilliard, Samir Messad, Mohammed Bengoumi
Přispěvatelé: Direction de l'élevage, Ministère de l'élevage, Systèmes d'élevage méditerranéens et tropicaux (UMR SELMET), Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement (Cirad)-Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-Centre international d'études supérieures en sciences agronomiques (Montpellier SupAgro)-Institut national d’études supérieures agronomiques de Montpellier (Montpellier SupAgro), Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Institut Agro)-Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Institut Agro), Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II (IAV), Unité de Recherches sur les Herbivores (URH), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)
Jazyk: francouzština
Rok vydání: 2008
Předmět:
Zdroj: Revue d'Elevage et de Médecine Vétérinaire des Pays Tropicaux
Revue d'Elevage et de Médecine Vétérinaire des Pays Tropicaux, CIRAD, 2008, 61 (2), pp.127-133
ISSN: 1951-6711
Popis: L’étude de la répartition du nombre d’adipocytes par classe de tailles a montré que toutes les tailles étaient représentées chez toutes les chamelles étudiées mais avec des proportions variables. La variabilité de ces proportions a aidé à caractériser un animal gras d’un animal maigre avec le résultat pratique sui­vant : le profil adipocytaire des animaux gras était caractérisé par la prédo­minance des cellules des classes de tailles 87,5 μm, 100 μm, 112,5 μm et 125 μm qui présentaient une forte corrélation. On peut dès lors envisager qu’un suivi de la dynamique des réserves corporelles chez le dromadaire pourrait être effectué indifféremment à partir de l’une de ces classes. Une typologie des animaux sur la base de leurs profils adipocytaires a montré la forte hétérogénéité des individus à l’intérieur d’un même groupe. Cette hété­rogénéité est devenue moins marquée vers la fin de la période d’essai où les individus d’un groupe avaient subi le même traitement nutritionnel et où, en effet, les profils adipocytaires gras et maigres ont été mieux distingués. Les divergences de classement des animaux dans les typologies obtenues au début et à la fin de l’expérimentation ont montré qu’il existait une forte interaction entre le profil adipocytaire des animaux et le régime alimentaire, confirmant leurs liens dynamiques.
Databáze: OpenAIRE