Translational control of intron splicing in eukaryotes

Autor: Khaled Bouhouche, Benjamin Noel, Baptiste Saudemont, Béatrice Segurens, Mariusz Nowacki, Vincent Schächter, Jean-Marc Aury, Olivier Jaillon, Linda Sperling, Patrick Wincker, Jean-François Gout, Betina M. Porcel, Eric Meyer, Jean Cohen, Anne Le Mouël, Mireille Bétermier, Laurent Duret, Gersende Lepère, Vincent Serrano
Přispěvatelé: Genoscope - Centre national de séquençage [Evry] (GENOSCOPE), Université Paris-Saclay-Direction de Recherche Fondamentale (CEA) (DRF (CEA)), Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)-Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA), Génomique métabolique (UMR 8030), Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)-Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)-Université Paris-Saclay-Direction de Recherche Fondamentale (CEA) (DRF (CEA)), Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)-Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)-Université d'Évry-Val-d'Essonne (UEVE)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Institut de biologie de l'Ecole Normale Supérieure (IBENS), École normale supérieure - Paris (ENS-PSL), Université Paris sciences et lettres (PSL)-Université Paris sciences et lettres (PSL)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Bioinformatique, phylogénie et génomique évolutive (BPGE), Département PEGASE [LBBE] (PEGASE), Laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive - UMR 5558 (LBBE), Université Claude Bernard Lyon 1 (UCBL), Université de Lyon-Université de Lyon-Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique (Inria)-VetAgro Sup - Institut national d'enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l'environnement (VAS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Claude Bernard Lyon 1 (UCBL), Université de Lyon-Université de Lyon-Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique (Inria)-VetAgro Sup - Institut national d'enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l'environnement (VAS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive - UMR 5558 (LBBE), Université de Lyon-Université de Lyon-Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique (Inria)-VetAgro Sup - Institut national d'enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l'environnement (VAS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Universität Bern [Bern] (UNIBE), Régulation de l'expression génétique (REG), Département de Biologie - ENS Paris, Université Paris sciences et lettres (PSL)-Université Paris sciences et lettres (PSL)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-École normale supérieure - Paris (ENS-PSL), Université Paris sciences et lettres (PSL)-Université Paris sciences et lettres (PSL)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Centre de génétique moléculaire (CGM), Université Paris-Sud - Paris 11 (UP11)-Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Institut de génétique et microbiologie [Orsay] (IGM), Université Paris-Sud - Paris 11 (UP11)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Savelli, Bruno, Institute of Cell Biology, University of Bern, University of Bern, Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)-Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université d'Évry-Val-d'Essonne (UEVE), Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-École normale supérieure - Paris (ENS Paris), Université Paris sciences et lettres (PSL)-Université Paris sciences et lettres (PSL), École normale supérieure - Paris (ENS Paris), Université Paris sciences et lettres (PSL)-Université Paris sciences et lettres (PSL)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-École normale supérieure - Paris (ENS Paris), Université Paris sciences et lettres (PSL)-Université Paris sciences et lettres (PSL)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Université Paris sciences et lettres (PSL)-Université Paris sciences et lettres (PSL)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-École normale supérieure - Paris (ENS Paris)
Jazyk: angličtina
Rok vydání: 2008
Předmět:
Zdroj: Nature
Nature, 2008, 451 (7176), pp.359-362. ⟨10.1038/nature06495⟩
Nature, Nature Publishing Group, 2008, 451 (7176), pp.359-362. ⟨10.1038/nature06495⟩
ISSN: 0028-0836
1476-4687
1476-4679
Popis: Most eukaryotic genes are interrupted by non-coding introns that must be accurately removed from pre-messenger RNAs to produce translatable mRNAs. Splicing is guided locally by short conserved sequences, but genes typically contain many potential splice sites, and the mechanisms specifying the correct sites remain poorly understood. In most organisms, short introns recognized by the intron definition mechanism cannot be efficiently predicted solely on the basis of sequence motifs. In multicellular eukaryotes, long introns are recognized through exon definition and most genes produce multiple mRNA variants through alternative splicing. The nonsense-mediated mRNA decay (NMD) pathway may further shape the observed sets of variants by selectively degrading those containing premature termination codons, which are frequently produced in mammals. Here we show that the tiny introns of the ciliate Paramecium tetraurelia are under strong selective pressure to cause premature termination of mRNA translation in the event of intron retention, and that the same bias is observed among the short introns of plants, fungi and animals. By knocking down the two P. tetraurelia genes encoding UPF1, a protein that is crucial in NMD, we show that the intrinsic efficiency of splicing varies widely among introns and that NMD activity can significantly reduce the fraction of unspliced mRNAs. The results suggest that, independently of alternative splicing, species with large intron numbers universally rely on NMD to compensate for suboptimal splicing efficiency and accuracy.
Databáze: OpenAIRE