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Introduction Les tumeurs intraventriculaires sont rares et souvent benignes. Elles sont responsables d’un syndrome d’HTIC. Leur diagnostic precoce permet d’eviter les complications hydrodynamiques. L’IRM est indispensable pour le diagnostic et l’approche histologique. Materiel et methodes Il s’agit d’une etude retrospective de 22 tumeurs intraventriculaire colligees au service de radiologie de l’hopital militaire de janvier 2009 a mai 2018. Certains malades ont ete explores par scanner (n = 6). Tous les malades ont ete explores par IRM sur deux machines Siemens Magnetom Vision 1.5 Tesla (n = 10) et Magnetom Verio 3 Tesla (n = 12). Resultats Les tumeurs recensees etaient : papillome (n = 2), kyste colloide (n = 2), medulloblastome (n = 2), ependymome (n = 8), subependymome (n = 1), astrocytome (n = 1), neurodendrogliome (n = 2), kyste du septum interventriculaire (n = 1), meningiome (n = 3). Ces tumeurs siegent au niveau du V4 : medulloblastome (n = 2), ependymome (n = 4), au niveau du V3 : kyste colloide (n = 2), ependymome (n = 3), au niveau du carrefours ventriculaires : kyste du septum interventriculaire (n = 1), papillome (n = 1) et des ventricules lateraux : subependymome (n = 1), astrocytome (n = 1), neurodendrogliome (n = 2), meningiome (n = 3), papillome (n = 1), ependymome (n = 1). Conclusion L’IRM avec ses sequences modernes permet de faire le bilan locoregional ainsi que l’approche histologique des tumeurs intraventriculaire ( Fig. 1 ). |
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